La centrale hydroélectrique de la Lignarre, vit au rythme des saisons : lors de la fonte des neiges, l’eau est très abondante et la centrale peut tourner à plein régime, plusieurs jours d’affilée. En revanche, durant les périodes de basses eaux, la centrale tourne au ralenti, voire ne tourne pas du tout : la quantité d’eau est insuffisante… d’autant plus qu’il est obligatoire de laisser un débit réservé s’écouler naturellement.
En période de hautes eaux (préciser mois de début – mois de fin), la centrale peut tourner au maximum de sa capacité, car l’eau est abondante et régulière. La centrale turbine jusqu’à …. m3 par seconde et va alors produire ….. kWh. Cet état de fonctionnement maximal est atteint environ …. jours par an, statistiquement parlant.
En période de basses eaux (préciser mois de début – mois de fin), la centrale peut ne pas tourner du tout, car la centrale ne prélève aucune eau pour la turbiner. C’est l’arrêté préfectoral qui l’exige… compte tenu de la nécessité de préserver la faune aquatique. Ce qui tombe sous le sens, pour une installation écologique.
On pourrait se demander comment se passe la régulation du débit de la centrale. Un système automatique gère cela, grâce à des capteurs placés au niveau de la prise d’eau. Tout est pilotable à distance, via un ordinateur, une tablette, et même un smartphone. Naturellement, l’opérateur peut reprendre la main en désengageant les automatismes, et piloter directement les installations.